Plusieurs études scientifiques ont démontrées que la pratique d’une activité physique chez la femme limiterait le risque de développer un cancer du sein. Mais pendant la maladie qu’en est-il ? ?
Les résultats montrent que l’activité physique a un impact bénéfique, sur leur santé en complément des traitements. En effet, le sport améliorerait la forme physique et diminuerait la fatigue chez les patientes.
Il permet aussi de lutter contre certains effets secondaires de la chimiothérapie et de réduire le risque de récidive de 50% lors de la pratique de l’activité physique après les traitements, et ce, quels que soient son âge, et son poids ; observe le Dr Thierry Bouillet, oncologue radiothérapeute au CHU Avicenne de Bobigny, dans un article issu du journal « Marie Claire ».
Le sport est également bénéfique pour les fonctions cognitives des femmes atteintes d’un cancer du sein. Il apporte des effets positifs sur les capacités mentales, dont l’amélioration du traitement de l’information, de l’attention ainsi qu’une plus grande capacité de mémorisation.
Selon l'institut Curie, "pratiquer au moins 3 heures d’activité physique hebdomadaire réduit les risques de récidive de 20%. Un pourcentage qui grimpe à 50% au-delà de 9h d’activité".
Plusieurs spécialistes de cette cause, recommandent la pratique d’activités douces, comme :
- Le pilates
- Le tai chi
- Le yoga
- L’aquagym
- La musculation